InvitéInvité |  Sujet: Alexiel Mori  Ven 14 Jan - 23:52 | |
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¦Nom¦ ▬ Mori
¦Prénom¦ ▬ Alexiel
¦Surnom¦ ▬ Al ou Alex
¦Statut¦ ▬ Esseulé, seul et solitaire, et tant mieux pour vous. En instance de changer de maître.
¦Age¦ ▬ 19 ans
¦Lieu de naissance¦ ▬ allez savoir, pas dans les beaux quartiers en tout cas
¦Préférence sexuelle¦ ▬ pas de préférence, si on peut lui éviter cette corvée c'est aussi bien
¦Métier¦ ▬ aucun
¦Groupe¦ ▬ pet (bâtard)
¦Race¦ ▬ humain (mongrel)
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▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬ ¦Description Physique¦
Alexiel est de taille normale, pas grand, mais pas petit non plus, 1.80 mètre pour un poids qui change souvent. La taille fine, pas trop mince toutefois, finement dessiné, à la musculature discrète que l'on ne peut apprécier que lorsqu'on le met à nu. Quand on y arrive. Passons. Il a les cheveux mi-longs, lui arrivant un peu en dessous des omoplates, d'un noir de geais toujours attachés en une queue lâche.Des mèches plus longues sur les yeux accentuent le côté arrogant de ce regard qu'il pose sur tout le monde. Des yeux tout aussi noirs que ses cheveux, parfois teintés d'une lueur rouge sous l'effet de la lumière. Un rouge nuit à peine visible. Parfois cernés aussi du fait du manque de sommeil, mais elles disparaissent bien vite après un peu de repos. On peut s'attendre à une peau matte assortie à ses cheveux d'ébène, mais pas du tout. Alexiel a la peau claire, pas trop tout de même, mais bien assez pour faire ressortir ses yeux.
Le jeune homme a les mains fines depuis toujours. Pratique pour un voleur. Habile de ses doigts, il serait aussi bon pianiste que peintre ou dessinateur si on le laissait faire. Malheureusement sa condition ne le lui permet pas, et ses doigts il doit s'en servir pour autre chose. Tout comme ses lèvres qu'il a fines, pâles aussi.
Sa condition fait de lui un homme souple, agile aussi, et discret quand il le veut. Ses couleurs de prédilections sont le noir et le brun, parfois le rouge. Oui il porte des vêtements, parce que son "maître" actuel ne le voit pas se promener en petite tenue à longueur de journée. Il aime les vêtements amples, et surtout il ne laisse rien voir.
¦Signes distinctifs/Autres¦ ▬ Alexiel a un tatouage sur le bras gauche, un tribal.
▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬ ¦Description mentale¦
Lorsqu’il était enfant, Alexiel était un garçon enjoué, curieux, très rêveur. Il faisait des bêtises, comme tous les enfants de son âge. Déjà il était méfiant.
En grandissant, ce n’était plus méfiant mais carrément agressif. Ses yeux noirs vous toisent avec arrogance, ils vous défient, vous provoquent, répondent à ce dédain qu’il voit chez les autres. L’homme est têtu, il envoie promener, répond, insulte même. Non pas qu’il refuse l’autorité, mais quand elle n’est pas légitime à ses yeux il ne s’y soumet pas. Pour lui, obéir à quelqu’un se proclamant son « maître » parce qu’il avait dépensé quelques pièces n’était pas une autorité légitime. Alexiel ne reconnait aucun maître à un homme libre, parce que c’est qu’il est. Il est têtu, alors autant dire que lui faire lâcher prise est quasiment mission impossible. Mais n’allez pas croire qu’il entre dans des colères noires, oh non. Alexiel est un homme froid, calme, qui répond de ce même ton glacial. Il a parfois des réactions de gamin, comme lorsqu’il se met à bouder parce qu’on l’a vexé. C’est son côté gentil qui ressort, très profondément enfouie on vous l’accorde, il faut gratter pour le voir. Il a du mordant, parfois cynique, ironique, narquois et mesquin, peu importe qui il a face à lui le respect ça ne le connait pas. Avec lui c’est donnant donnant.
Mais n’a-t-il que des défauts ? Non bien sûr, seulement ses bons côtés il ne les montre pas. Qui s’intéresse aux qualités d’une animal d’ailleurs ? On lui demande d’obéir et de se taire, manque de chance avec lui ça ne passe pas. Alexiel est un homme qui a de la conversation. Pas d’un langage très soutenu, mais il a des idées sur tout. Il a un très bon instinct en ce qui concerne les gens et sait à peu près à quoi s’en tenir avec ceux qu’il rencontre. Plutôt observateur, il remarque parfois des petits détails que personne ne relève. Indiscipliné peut être, il sait néanmoins se tenir. En excellent comédien, pas difficile pour lui de jouer le rôle du parfait animal de compagnie le temps d’un repas, ou d’une soirée. Il est loyal envers ceux qu’il considère comme ses amis, franc également.
Pessimiste depuis qu'il a 14 ans, Alexiel n'attend plus rien de cette vie. Ni rêves, ni espoir, encore moins de l'amour. D'ailleurs, le sexe est pour lui une corvée plus qu'autre chose. Cependant il est bien trop fier pour mettre fin à ses jours.
Notre homme s’habille le plus souvent en noir, en brun, parfois en rouge. Cette couleur étant de loin sa préférée. Son « maître » actuel n’aime pas à le voir se balader en petite tenue, pour la plus grande joie d’Alexiel qui ne supporte pas d’être reluqué. Il n’est pas pudique non, pas plus que la moyenne, mais vous aimeriez vous qu’on vous regarde faire tout et n’importe quoi sans rien pour vous habiller ? Gênant pas vrai ?
Ses loisirs ont été quelque peu réduis en raison de sa nouvelle conditions. Depuis qu’il sait lire et écrire, Alexiel se passionne pour la lecture. On peut le laisser toute une journée dans une bibliothèque il en sera ravi. Comme il bénéficie d’une grande liberté, il se plait également à se promener des heures durant. Alexiel n’est pas un adepte des prises de tête, sauf quand il s’agit de provoquer et de remettre à leur place quelques personnes trop enhardies. Il aime le calme, la musique également. Si il pouvait apprendre à jouer d’un instrument il serait plus que content.
¦Défauts majeurs¦ ▬ têtu, arrogant, moqueur, indiscipliné
¦Qualités majeures¦ ▬ franc, observateur, curieux, fier
¦Troubles/Phobies¦ ▬ il a peur du vide, raison pour laquelle on ne le verra jamais rop proche d'une fenêtre
¦Particularités¦ ▬ un petit secret à son sujet ? Il est chatouilleux. Il suffit de lui titller le cou pour le voir éclater de rire à n'en plus finir.
¦Manies¦ ▬ "Ts", sifflement qui accompagne presque toutes ses phrases lorsqu'il est agacé. Il est allergique au latex et aux parfums, et adore les fruits rouges (c'est son pêché).
▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬ ¦Histoire du personnage¦
Les joies de l’écriture, jamais je n’aurais cru avoir un tel plaisir à coucher des mots sur du papier. C’est bien l’une des seules choses qu’on ne peut encore me prendre. Je me souviens qu’on riait de moi à mes débuts. Ce doit être la seule chose que j’ai apprécié suite à ma … « nouvelle condition ». Ce soir l’envie me prend de faire le bilan de ma triste existence. Qui sait, peut être que quelqu’un lira ces quelques lignes et exaucera mes vœux, ce dont je doute.
Alexiel. C’est le prénom qu’il m’a donné, le prénom de son petit fils qui fut emporté par la maladie bien avant ma naissance. Il m’a trouvé et m’a élevé. Oh ce n’est pas une chose si exceptionnelle que ça, c’est même courant de voir des enfants abandonnés. Moi j’ai eu la chance d’être recueilli, tout le monde ne peut pas en dire autant.
Je n’ai jamais su son nom, je l’appelait « mon oncle » et c’était un vieil homme. Entre 50 et 60 ans je dirais, autant dire une antiquité. Nous vivions dans les bas quartiers, dans un vieil appartement d’apparence miteuse mais pour moi c’était le plus bel endroit du monde. Il y avait cette chaleur rassurante, comme si un autre monde s’ouvrait à moi au moment où je franchissais la porte pour rentrer. C’était mon havre de paix, un lieu où je ne voyais pas la vie telle qu’elle était en réalité.
Comme tous les enfants, je faisais des bêtises. Je volais. De quoi manger, des petits objets. Mon oncle me disputais sans arrêt, et pour me faire peur il me disait qu’il ferait venir Jupiter à la maison. Je ne savais pas qui était cette personne, alors ça ne marchait pas vraiment. Jusqu’à ce que mon oncle change de technique et me parle des Blondies. Même là l’effet ne fut pas vraiment celui auquel il s’attendait. Du moins pas avant que je n’en rencontre un vrai. Ce fut mémorable, pour moi en tout cas. Cet instant ne dura qu’un instant, mais il fut le plus terrifiant de mon existence. Cet inconnu m’avait fais peur, plus que ça, il m’avait paralysé. J’avais croisé son regard glacial, instinctivement je m’étais caché derrière mon oncle. Il travaillait à Tanagura, comme agent d’entretient. Payé une misère. Il était rare que je l’accompagne, mais comme je devenais de plus en plus indiscipliné il tenait à me faire peur, histoire que je sois plus obéissant. Ça n’a pas manqué, je filais droit après ça.
Sans conteste, je peux le dire, ces années furent les plus belles de ma vie. Je ne manquais de rien, j’avais à manger, de quoi m’habiller, et même si mon instruction laissait à désirer, j’étais heureux. Les Pets, les Blondies, Jupiter ? Qu’est-ce qu’un enfant peut bien penser de ces inconnus ? La tête pleine de rêves et d’idée d’avenir, je m’en foutais complètement.
634E19Z1. J’avais 14, et j’ai appris ce qu’est la réalité. Les rêves sont fais pour rester des rêves. Je n’ai jamais beaucoup pleuré dans ma vie, mais cette fois là, je crois que j’ai versé des larmes pour une vie.
Mon oncle était agité depuis quelques temps, et je savais que quelque chose n’allait pas à la maison. On mangeait moins, parfois il se privait de repas. En fait, je ne l’appris que bien plus tard, mais on l’avait renvoyé. Il ne pouvait plus subvenir à nos besoins. Et à son âge, travailler était difficile. Alors une après-midi, il m’a dis de m’habiller, on sortait. Ces moments étaient rares, d’habitude mon oncle ne venait jamais avec moi. Il m’a emmené dans un lieu que je ne connaissais pas. Même si la curiosité m’avait toujours habité, cette fois je me faisais oublier. Je ne pourrais même plus dire à quoi ressemblait le bâtiment. Il y faisait sombre. Et j’ai vu une fille de mon âge, elle venait vers nous en criant, elle m’a dis de me sauver. On l’a rattrapé et emmené je ne savais où. Instinct de survie, ou autre chose, le fait est que je voulu faire ce qu’elle m’avait ordonné, et fuir. Mais mon oncle me tenait le bras, fermement. Ce fut ce jour là que je découvris toute la force de sa poigne d’ailleurs. Il ne me regardait pas, malgré tous mes efforts pour capter son attention. Mon sang ne fis qu’un tour, je tirais, criais, frappais pour partir.
Après, c’est assez flou. Je me souviens d’un brouillard devant mes yeux, de quelques mots échangés, de mon oncle qui s’excusait, et puis plus rien.
A mon réveil, j’étais enfermé dans une cage. Il y avait encore et toujours ce brouillard devant mes yeux, et un mal de crâne me faisait amèrement regretter d’être humain pour le coup.
-Mon oncle ?
-Il n’est pas là.
La voix m’était inconnu, et glaciale. Je tournai la tête vers l’individu en train de fumer tout en écrivant quelque chose dans un livre.
-Qui êtes-vous ? Demandai-je à voix basse, encore sous l’effet d’une drogue certainement.
-Tu n’as pas à le savoir. Ne poses pas de question, et ne parle que si je t’y autorise.
-C’est quoi encore ces idioties ? Pourquoi je suis enfermé ?
L’homme tiqua et daigna tourner la tête vers moi. Il prit le temps de terminer sa cigarette avant de l’écraser en bonne et due forme dans le cendrier.
-Faut voir ce qu’on va faire de toi encore. Je doute qu’on puisse te vendre. Mais comme t’es jeune, et vierge, ça devrait passer. Tu devrais trouver un propriétaire. Quoique, c’est pas garantie. Au pire on t’envoie en bordel.
-De quoi vous parlez ?
De la colère j’étais passé à la peur. Je n’y comprenais rien.
-T’as pas capté encore ? Numéro matricule : 634E19Z1.
-Hein ?
-Trésor, t’es passé du statut d’humain à celui d’animal, remarques y’a pas une grande différence. Juste que il va falloir te dresser un peu mieux que ça. C’est pas évident avec les mongrels. Mais petit, une fois qu’on t’as vendu, une fois que t’es sur le registre, c’est fini tout ça. Ta vie commence à partir du moment où je t’ai enregistré. Alors maintenant, sois mignon et tais-toi.
Il m’avait tapoté la joue, comme pour me dire « bon garçon ». J’étais tellement choqué que je ne pouvais même pas parler. J’eu tout juste le temps de poser une dernière question avant qu’il ne sorte :
-Et mon oncle ?
-Ton oncle. Il se retourna, un grand sourire aux lèvres. Mais il t’a vendu pour trois fois rien.
Je n’y croyais pas, ça ne pouvait pas être vrai. Mon oncle n’aurait jamais fais ça ! On était une famille, même si aucun lien de sang ne nous unissait. Et pourtant je devais me rendre à l’évidence. Tout était vrai. Je me redressai jusqu’à prendre les barreaux entre mes mains, secouer de toutes mes forces en espérant qu’ils cèdent. En vain. Alors j’abandonnai, posant ma tête contre le métal. C’était un cauchemar, j’allais me réveiller. Je serrai les barreaux à m’en faire blanchir les phalanges, et jusqu’à ce que je n’en puisse plus, j’ai pleuré. Encore et encore, j’ai hurlé, j’ai maudis, j’ai supplié. Rien. Il ne s’est rien passé. Le gout salé et amer de la trahison envahissait ma bouche. Comment pouvait-on faire cela à sa propre famille ?
Ce fut comme une renaissance pour moi ce jour là. Loin d’être le bon sens du terme, comme une cassure au plus profond de mon être. Je n’avais plus rien à voir avec ce petit garçon, quelque chose avait changé. Les rêves ne sont que des rêves après tout. Ils ne resteront jamais que cela.
Seize ans. J’avais grandi, et j’avais surtout trouvé un propriétaire. Grand mal lui prit de m’avoir acheté ce jour là, je suis certain qu’il s’en mord encore les doigts aujourd’hui. Déjà me « dresser » ne fut pas chose facile, je peux même dire non sans fierté qu’ils ne sont jamais parvenu à rien. Comme la plupart de ceux dans mon cas je m’étais rebiffé. La violence et les cris ne servaient à rien, je l’appris bien vite. Et les punitions ma passèrent bien vite au dessus de la tête. Certes ça faisait mal, mais chaque coup me confortait dans l’idée que je les faisais vraiment enrager.
Bien vite je trouvai un le moyen de m’amuser pendant ces petites séances censées m’enseigner la discipline, l’obéissance, le respect. Mon jeu consistait en une règle bien simple : quand vas-tu t’apercevoir que je me fou de toi ? Je faisais sembler d’écouter pour me rebiffer juste après. Et ne parlons pas du sexe. Mon « maître » eut un jour l’excellente idée de m’amener à une « petite soirée » comme il le disait si bien. Le principe de ces Sex-Partys était très simple : s’envoyer en l’air devant nos « maîtres » pour qu’ils profitent du spectacle. Ma première immersion dans la société. Si on pouvait appeler ça comme ça. Avouons le franchement, je n’étais plus vierge depuis mes 14 ans, et pour moi ce genre d’acte n’avait rien de bien plaisant. Résultat de la soirée : un autre Pet privé de ses facultés reproductrice pendant un moment. La raison ? Le passage de mes dents sur sa verge peut être.
Ces écarts de conduite m’auraient valu une descente en bordel, pire encore on aurait pu me tuer, ou faire de moi une gentille poupée bien obéissante. Mais rien de ça. Peut être parce que quelqu’un se proposa pour me récupérer. Ce fut au moment de ma négociation que le soulèvement contre Jupiter eut lieu. Nombre d’entre nous y ont participé. Pour ma part, j’étais enfermé, et je profitai de ce désordre pour m’enfuir. Ce n’était pas ma première fugue, mais vu le chaos qui régnait dehors, j’espérais y arriver cette fois. Manque de chance, on me récupéra. Encore. Et cette fois, je changeai de propriétaire.
Il s’appelait Tepes, un Blondie, étonnant n’est-ce pas ? Mais un vieux Blondie. Il ne m’emmenait pas aux soirées, il ne me touchait pas non plus, et il ne me fit pas le moindre mal quand Jupiter ordonna de sévères sanctions contre les humains. Méfiant au début, il m’avoua bien vite s’être lassé de tout cela. Lui tout ce qu’il voulait, c’était finir sa vie tranquillement, et ne demandait de moi qu’un peu de compagnie. En échange il m’appris à lire et à écrire. Un bon compromis.
Mais maintenant que sa fin le guette, je sais que le temps va venir pour moi d’avoir un nouveau « maître ». Et je doute qu’il soit aussi gentil ? Que celui que j’ai en ce moment.
Aujourd’hui, j’ai 19 ans, et je vis en attendant ma fin moi aussi.
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| | | ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬ ¦Pouvoirs¦
¦Pouvoir 1¦ ▬ Écrire ici
¦Pouvoirs 2¦ ▬ Écrire ici
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¦Votre âge¦ ▬ 19 ans
¦Des doubles comptes?¦ ▬ non ^^
¦Des questions ?¦ ▬ là non je ne crois pas. Par contre je tiens à le dire, en raison de mes études je suis parfois longue à répondre (selon ce que mes sadiques de profs ont inventé pour me torturer -_-) Mais je ne pose jamais de lapin en rp ^^
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