InvitéInvité |  Sujet: Vénus, juste Vénus [Terminé] ![Vénus, juste Vénus [Terminé] I_icon_minitime](https://2img.net/s/t/13/06/08/i_icon_minitime.gif) Sam 23 Juil - 20:31 | |
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¦Nom¦ ▬ Ga'alan
¦Prénom¦ ▬ Vénus
¦Surnom¦ ▬ Certain le nomme « Démon au cœur d'acier noir »
¦Statut¦ ▬ Célibataire endurcit
¦Age¦ ▬ 19 ans
¦Lieu de naissance¦ ▬ Amoï, dans un trou perdu. Lequel ? Il ne l'a jamais su.
¦Préférence sexuelle¦ ▬ Ambivalent, fortement dominant
¦Métier¦ ▬ Trafiquant en tout genre, il peut vous trouver des clopes, un homme ou bien même un bouton de manchette.
¦Groupe¦ ▬ Citoyen
¦Race¦ ▬ Un bâtard d'humain
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▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬ ¦Description Physique¦
Une silhouette sombre qui disparaît à la minute où vous la remarquez, il ne se laisse pas approcher aussi facilement et si c'est le cas, c'est qu'il y a anguille sous roche. Regardez sur les toits, cet acrobate dansant au-dessus du vide. Voici Vénus, délicieux prénom qui cache un vil serpent prêt à cracher son venin sur sa prochaine victime.
Il n'est pas très grand malgré les apparence un mètre soixante-quinze d'une fine musculature qu'il sculpte en crapahutant partout il peut pour atteindre ses objectifs, s’entraînant en solitaire dans des ruelles ou tout simplement en se castagnant contre une autre personne contre quelques billets. Il n'y a pas un gramme de gras dans ce tableau, des muscles, certes, mais un brin de maigreur aussi par moment. Il faut dire que le trafic ne marche pas si bien que ça et le vol ne paye pas toujours suffisamment pour un bon gueuleton riche en protéine pour entretenir son corps toujours en mouvement. Son corps, voilà un terrain qui a connu de nombreuses rencontres violentes au cours de sa vie aussi courte soit-elle. Lame de rasoir, simple coup de ceinture à répétition, mégots de cigarette, tessons de bouteille, j'en passe et bien d'autres, il n'avait pas des maîtres tendres et ils savaient très bien comment le punir. Il garde donc sur sa peau de nombreuses cicatrices, si un jour vous arrivez à l'approcher d'assez près et à gagner sa confiance, peut-être vous en parlera-t-il plus en détail.
En dire plus ? Que voulez vous de plus, des détails ? Passons à la suite. Ses bras finement musclés se terminent pas des mains aux doigts fins, agiles, ossus, pas le moindre bijou pour les orner. Pour lui, se sont des signes d’appartenances, de liens, d'attachement qui lui rappelleraient des souvenirs ou pousseraient les gens à poser des questions personnelles. Sa longue chevelure sombre tombe jusqu'au bas de ses rein, encadrant son visage voilant bien souvent son regard. Il en prend légèrement soin, il les lave ok, mais il ne va pas jusqu'à se coiffer pendant des plombes ou les attacher. Cette masse d'ébène encadre un visage fin et délicat, un peu trop sans doute pour un homme, il joue que peu de cette particularité de cette féminité, mais il la ponctue d'un léger trait de crayon à ses yeux. Perles azuréennes entourées de noirceur, son regard se pose sur vous, vous toise, vous juge, vous jauge avant qu'un sourire se dessine sur ses fines lèvres. Il se joue de vous, vous séduit par de belles paroles et un frôlement de ses douces lèvres sur votre peau frissonnante. Il est joueur et le monde entier est sa proie.
Ne reste que le vestimentaire s'il n'y a pas d'erreur. Il n'est pas vraiment compliqué en la matière, un simple jogging ou un jean avec pour couvrir son torse un t-shirt et une veste par dessus, bien souvent il revêt un sweat à capuche, histoire de masquer un peu son identité. Pas le moindre bijou, pas la moindre ceinture, rien qui ne pourrait se prendre dans un quelconque objet lors d'une fuite.
Oh et une dernière chose encore, cet homme n'est pas uniquement de chair et de sang, il y a aussi cette perle rare qu'il ne dévoile que très rarement, sa voix ; profonde mais douce suave et chaleureuse qui vous ferra frémir surtout s'il se met à chanter, on lui donnerait la terre entière s'il la demandait en chanson. Mais aurez-vous cette chance ?
¦Signes distinctifs/Autres¦ ▬ Le chiffre « IX » tatoué au majeur droit ainsi qu'à son arcade sourcilière du même côté, souvenir de son premier maître. Un piercing à l'autre arcade et diverses cicatrices sur le corps, ainsi qu'une brûlure assez conséquente sur l'intérieur de la cuisse gauche.
▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬ ¦Description mentale¦
Ce vent froid, ce souffle glacé à votre nuque. Non, ne cherchez pas plus loin, c'est bien cette homme encapuchonné qui fait glisser sa fine mèche de cheveux entre ses doigts, une voix s'échappe de ses lèvres comme un murmure délicat. De belles paroles, un beau discourt qui pourrait en faire chavirer plus d'un malgré sa condition d'humain bâtard, il n'a donc pas les atouts physiques des Blondies mais il peut se consoler de ne pas être devenu un meuble castré. Pourquoi n'est-il pas dans une cage ? Ou bien mort à cause de ce passé qui lui colle aux basques ? Dieu seul le sait, à moins que Jupiter en ait une maigre idée. Il est malin, c'est sans doute ça qui le sauve au final, la milice l'a très certainement en ligne de mire, sans doute que sa photo est affiché dans un bureau avec un gros wanted rouge inscrit en dessous. Ça par contre il n'en sait rien et il ne cherchera pas à rencontrer les hommes en uniforme, se fondant dans la foule au moindre milicien en vu.
Mais qui est-il vraiment ? Ce fuyard et dragueur invétéré a-t-il autre chose à offrir ? Ou bien n'y a-t-il rien de plus sous ce masque froid qu'encore plus de froid ? Hum et bien, c'est un véritable iceberg, s'il sourit c'est qu'il y a quelque chose de louche ou qu'il se moque de vous tout simplement. Une phrase blessante, une blague douteuse, voilà ce qui fait partit de lui, il se moque bien que ce qui sort de sa bouche vous touche au plus profond de votre être et vous rend un instant vulnérable. Il n’est pas un homme avec qui on désire prendre un bon café en discutant de tout et de rien, en fin calculateur il prendra tout ce que vous direz pour le retourner contre vous à un moment ou à un autre. L'amitié ? Il ne connaît pas et il ne désire pas la connaître, vous ne serez qu'un simple contact pour lui, une simple rencontre, il ne se souviendra sans doute pas de votre visage une fois qu'il vous aura tourné le dos. C'est un solitaire qui ne désire en aucun cas avoir des attaches qu'elles soient physiques ou bien sentimentales, son passé lui a appris que c'était mauvais pour lui.
Et si nous parlions d'amour ? Non ne vous attendez pas à un roman à l'eau de rose, il ne l'a jamais ressentit et au vu de ce qui est dit précédemment il ne le recherche pas. Il a été un esclave par le passé, on se servait de lui comme défouloir, mais un maître, un seul l'utilisait pour les plaisirs charnels. Il a découvert le sexe dans la violence et il a vu que ce même maître était capable de faire l'amour à un autre esclave, il a vu la douceur et le désir, des choses qu'on ne lui offrait pas. Certes il a envié cette complicité, mais quand il a vu que l'amour pouvait être aussi destructeur au point d'en venir au meurtre de l'être aimé, il a comprit que ce sentiment n'était pas pour lui. Pourquoi ? Simplement parce qu'il serait un amant très difficile, jaloux, sans doute très possessif et prêt à tuer quiconque approcherait de trop prêt l'être « aimé ».
¦Défauts majeurs¦ ▬ Solitaire, insensible, froid, calculateur...
¦Qualités majeures¦ ▬ Belle voix, doux, habile, calme...
¦Troubles/Phobies¦ ▬ L'amour ? Plus sérieusement il est bélénophobe, il a une peur panique des aiguilles.
¦Particularités¦ ▬ On pourrait croire que Vénus est incapable de s'attacher, mais c'est tout le contraire, il craint l'abandon alors il devient vite froid et distant pour ne pas se retrouver abandonné.
¦Manies¦ ▬ Tourner une mèche de cheveux entre ses doigts quand il se prépare à faire un sale coup.
▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬ ¦Histoire du personnage¦
Écoutez. Je ne crois pas que l'esclave soit coupable de ces morts étranges, il n'a pas de chance voilà tout.
Monsieur le directeur, vous n'allez pas me faire croire que vous n'avez pas le moindre soupçons ? Regardez-le un peu, il transpire le coupable à plein nez !
Soit... Alors montrez-moi les preuves de sa culpabilité et je vous le donne sans broncher... Rien ? Et bien partez, laissez-moi revendre ce bâtard une fois qu'il sera rétabli !
C'était encore une fois la même histoire, un maître en moins et je suis le coupable désigné. En même temps, je ne suis pas totalement innocent mais je suis doué pour maquiller les preuves. Et puis le directeur du Petshow est un ami très proche qui a beaucoup de mal à se faire à l'idée que je suis une ordure et je me demande s'il se rend compte que je me sers de lui comme de mon propre esclave. Il ne lui faut pas grand chose pour qu'il se laisse amadouer, de belles paroles, une petite gâterie de temps en temps et un peu plus les jours de fête. Donner mes fesses pour un peu de liberté, c'est pas cher payé à y regarder de plus près. Bon par contre, il lui arrive de me laisser partir avec un maître, quand il en a marre de moi ou que je l'ai contrarié. Mais malgré les morts suspectes de ces derniers il continue de me reprendre, de m'accorder ses faveurs en retour des miennes. Je me suis plusieurs fois demandé s'il n'était pas tombé amoureux de moi. Me voilà à nouveau dans une cage.
****Flashback****
La vie avec Austin, dernier maître en date.
Le sol est glacé sous mon corps à demi nu, j'entends des voix, des gémissements, des gloussements à l'étage supérieur. Il est encore avec son favoris, moi j'ai le droit à la cave, à un matelas qui pue la pisse et une gamelle. Je suis juste un chien pour lui, il m'a choisit par dépit au final, je ne suis qu'un défouloir alors que l'autre est son amant, quelle vie de merde. Mes seules moments de liberté se résument à être enfermé dans cette cave, un calepin et un crayon pour me distraire. Seul point positif à cette période de ma vie, je suis doué en dessin et en imitations de signatures, sinon il n'y a que du négatif. Les coups, le sang, la privation. Je ne vois même plus la lumière du jour depuis que je suis entre ces murs. L'autre, l'esclave qui partage sa couche ne sait pas du tout que j'existe, il se croit le seul à partager sa maison, quel naïf, je hais ce genre de mentalités.
La porte s'ouvre. Il est là. Il me toise. Son regard est glacé. Il est encore nu, empestant le sexe et l'alcool. Sa chose s'est assoupie après l'effort, c'est si habituel, une routine qui s'est installée en peu de temps et qui persiste. Je sais ce qui m'attend. Il est insatiable et je suis sa seconde chose, celle qu'il frappe, qu'il viole, qu'il souille et qu'il humilie sans cesse. Il me dégoûte. Je suis enchaîné au mur de la cave, les mains liées, la jambe toujours dans un sale était depuis qu'il s'est amusé avec un chalumeau. Les pierres portent encore l'odeur acre de la chair brûlée et de mes larmes. Son rire me fait sursauter, alors qu'il s'approche de moi, sa clope à la main. Je ferme les yeux, une larme roule sur ma joue, je sais ce qu'il m'attends.
Quelques mois plus tard.
Je suis une loque humaine. Mon corps est si maigre que je ne tiens que très peu debout, je subis toujours ses assauts sexuels mais je met beaucoup plus de temps à me rétablir. Ma jambe me fait un mal de chien, du pue coule de ma chair et les mouche tente de faire leur nid dans cette dernière. Je ne dors quasiment plus, en alerte. Il vient moins souvent, sortant tous les jours avec son catin de service, me délaissant de plus en plus, m'offrant une mort lente et atrocement douloureuse. La porte claque à l'étage, je me repli dans un coin de la pièce, faisant tinter les lourdes chaînes contre la pierre devenu poisseuse au fil des années. Il va venir, ses pas raisonnent dans l'escalier, mais il n'est pas seul. Je frissonne, un nouveau jeu ? La porte s'ouvre violemment, le corps de sa chose fétiche s’écrase à mes pieds. Il fout quoi dans cette pièce lui ?
Tu vois ce qui arrive aux raclures qui ne restent pas à leur place ? Regarde-le, il empeste la pourriture, c'est à ça que tu veux ressembler ?!
Non Austin.... Je... Désolé... Je t'aime...
Moi je ne t'aime pas, tu n'es qu'un esclave, un parmi tant d'autres. Je pensais que tu serais docile mais tu as osé me répondre, tu as osé parler en public.
Mais... Mais... Tu avais dit que... Que tu m'aimais... Que... Que tu m'aimerais toujours... Pour.. Pourquoi ?
Je regardais la scène, entrevoyant une sortie possible. Oh oui, pendant tout ce temps passé à détester ce que j'étais devenu entre ses doigts, j'avais tenter de m'enfuir, de préparer des plans, mais tout avait échoué. Mais là, il y avait un moyen d'en finir et de faire payer à cet enflure tout le mal qu'il m'avait fait. Me servir de sa chose pour qu'elle en finisse avec la vie de son maître. Les sentiments amoureux pouvaient devenir très destructeurs si on savait les utiliser. Il le laissa là, pour la nuit selon ses dires, il ne me restait que peu de temps pour agir et pourrir l'esprit pur du gamin. Une nuit pour agir, il fallait la jouer finement. Mais il était si naïf que c'est lui ui s'est jeté dans la gueule du loup. Il déchira son t-shirt pour bander ma cuisse, il s'excusa même pour les acte de son maître, c'était du pain bénit. Il ne me restait plus qu'a verser mon venin à petite dose, de le laisser mariner un peu et le résultat n'allait pas tarder à se faire sentir.
J'avais tellement bien usé de ma voix de sirène que dès que la porte fut ouverte, il se jetait sur son adorable maître pour le tailler en pièce avec la simple force de ses main et l'aide bienvenue de fameux stylo. Deux minutes, juste deux minutes et son cœur avait cessé de battre. Le visage ruisselant de larme, il se tournait vers moi, sa voix tremblota, me demandant ce qu'il devait faire maintenant. Il me détachait, je l’assommais sans le moindre remord avant de me traîner hors de cet enfer. Sans chercher à fuir, je retournais au Petshow, je n'étais pas en état pour aller me terrer ailleurs.
****Fin du Flashback****
Les soins ont été apportés, ma jambe guérit peu à peu, j'aurais une belle cicatrice, c'est un moindre mal vu ce qu'il m'a fait subir. Mais je ne voulais plus de cette vie, je ne voulais plus de maître, je ne voulais plus revoir la tronche de cet abruti de directeur bien trop con pour se rendre compte que je me servais de lui. Cette vie n'était plus la mienne, ce moment passé avec cet autre esclave me l'avait bien fait comprendre, une meilleure ou tout du moins une autre vie m'attendait à l'extérieur.
A croire que le ciel m'avait entendu, quelques semaines plus tard, alors que je dormais dans une pièce près du bureau du Directeur, un Blondie fit irruption dans le magasin. Il savait ce qu'il cherchait visiblement, une, deux, trois et quatre cages d'ouvertes et il me fit sortir de ma prison. Il se disait rebelle, il disait savoir que nous allions finir en meubles pour les plus chanceux et à la morgue pour les autres, moi y compris. Je lançais un dernier regard à ma prison, le sourire aux lèvres. J'étais libre.
Cela fait déjà trois ans que je vis comme un fugitif, ma seule relation à long terme, c'est Miki Rize, juste parce qu'il sait m'utiliser pour des désirs divers et variés, avec lui, je ne risque pas de m’ennuyer et je prends pas mal de risques pour le contenter. Oh et n'imaginez pas que l'on couche ensembles, je préfère les inconnu, je sais qu'au moins je leur dois rien et qu'on ne se reverra certainement pas.
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¦Votre âge¦ ▬ 24 ans
¦Des doubles comptes?¦ ▬ Pas encore
¦Des questions ?¦ ▬ Je les poseraient en temps voulu.
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Dernière édition par Vénus Ga'alan le Dim 24 Juil - 0:55, édité 3 fois |
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